Je partage et diffuse tous les éléments nécessaires à l’action climatique
Last updated
Last updated
Sujets autour de la comptabilité carbone et de la transition bas carbone, incluant des éléments sur les enjeux énergie climat et sur le changement climatique, les méthodes de comptabilité carbone, les risques liés au changement climatique et autres sujets connexes.
Individus, groupes et organisations avec qui un contact existe, qu’il soit fait dans le cadre de prospections, de contrats, de réglementations ou à travers des communications publiques. Les parties prenantes incluent notamment les prospects, les clients, les fournisseurs, les régulateurs, les investisseurs, les collaborateurs, les associations, les collectivités et autres communautés locales.
9.1. Je peux mettre en place une ligne éditoriale présentant la comptabilité carbone comme un outil d’une transformation essentielle.
J’intègre à ma communication des éléments de compréhension de tous niveaux et à destination de divers publics ;
Je partage régulièrement des bonnes pratiques et des recommandations de leviers d’actions pour réduire son impact et participer à la lutte contre le changement climatique ;
J’intègre à ma communication l’idée qu’il est aussi important de continuer à porter un plan de transition robuste, que de débuter par des actions simples à son échelle.
9.2. J’appuie mes messages par les constats scientifiques, et y inscrit l’urgence climatique et les trajectoires de réduction des émissions de GES encouragées par le GIEC.
9.3. Je participe à créer de nouveaux imaginaires et de nouveaux récits pour aider à rendre désirable une société bas carbone.
En tant qu’acteur de la lutte contre le changement climatique, il est important de participer à faciliter la compréhension de ces enjeux pour se rapprocher d’une action collective et efficace. En communiquant clairement sur des faits scientifiques, il est possible d’aider ses parties prenantes à prendre des décisions éclairées et en adéquation avec l’urgence climatique actuelle. Ainsi, sensibiliser à la fois aux enjeux énergétiques et à la comptabilité carbone permet de mettre en lumière les risques climat et d’aider à anticiper les changements importants à venir en plus de chercher à les atténuer.
Au contraire, ne pas s’inscrire dans une sensibilisation aux enjeux actuels peut entraîner un manque d’engagement de ses parties prenantes qui risquent de sous-estimer la gravité de la crise climatique. Une mauvaise compréhension des ordres de grandeur d’impacts sur le climat peut également amener à de la frustration venant d’actions non adaptées ou même insuffisantes. Ainsi, ne pas faire sa part en tant qu’acteur de la lutte contre le changement climatique peut également contribuer à la propagation de l'éco-anxiété.
Mettre en place une stratégie de vulgarisation des informations techniques et des rapports d’experts pour aider à leur accessibilité auprès du plus grand nombre.
Mettre en avant des exemples concrets d’actions et de manières de s’engager, à l’aide d'articles de blog par exemple, ou d’appels à l’action.
Encourager le dialogue et le questionnement pour accompagner une prise en main active des enjeux climatiques.
Une entreprise engagée cherche à faire de la sensibilisation en utilisant des termes trop complexes sans les expliquer, ce qui peut causer des mauvaises compréhensions du public : “Notre organisation a défini un objectif Net-zéro à l’horizon 2050 selon le standard du SBTI”
Bonne pratique : “Notre organisation a défini un objectif Net-zéro à l’horizon 2050 selon le standard du SBTI. Pour y parvenir, il nous sera nécessaire de réduire significativement nos émissions de gaz à effet de serre pour atteindre notre niveau d’émissions incompressibles, c'est-à-dire les émissions minimum sans lesquelles notre activité n’est pas possible.”
Un donneur d’ordre n’adapte pas son discours, ou utilise des termes erronés, en fonction de ses parties prenantes, ce qui peut affecter la compréhension des demandes : “Nous vous sollicitons aujourd’hui pour avoir votre Bilan Carbone® afin d’alimenter la mesure de nos émissions.”
Bonne pratique : “Nous vous sollicitons aujourd’hui pour améliorer la mesure de nos émissions de GES. En effet, les émissions de vos produits sont à considérer dans nos émissions indirectes. C’est pourquoi, si vous avez réalisé une mesure des émissions par produit ou de votre organisation, cela nous permettrait d’aller plus loin dans notre démarche. Nous sommes disponibles pour préciser notre demande.”
J’appuie ma communication par des scénarios, comme , présentant une trajectoire vers une société bas carbone.